“Le gouvernement a une approche réductionniste. Ils considèrent que le président n’est là que pour donner un visage à la politique ou jouer les porte-parole, en lisant des directions préparées”, critique auprès de POLITICO Radosław Fogiel, un député du parti populiste Droit et justice (PiS) qui soutient Karol Nawrocki.
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